Le Jardin de la Mémoire est un lieu de rencontre dédié à toutes les personnes qui furent privées de leur liberté dans le camp de concentration de Miranda de Ebro entre 1937 et 1947.
Durant plusieurs décennies le camp confina autant les individus du camp républicain que les brigadistes, les membres du camp allié, nazis et collabos, les obligeant à une cohabitation internationale.
À fin de préserver le souvenir de toutes ces personnes, plusieurs variétés d’arbres ont été plantées évoquant leurs pays de provenance.
Cet emplacement, ajouté au Centre d’Interprétation et aux restes visitables du Camp de Concentration, sont une invitation à la connaissance, la mémoire et le dialogue de notre histoire récente.
LE JARDÍN
DE LA
MÉMOIRE
Mur en mémoire du Camp de Concentration
Le Jardin de la Mémoire est un lieu de rencontre dédié à toutes les personnes qui furent privées de leur liberté dans le camp de concentration de Miranda de Ebro entre 1937 et 1947.
Durant plusieurs décennies le camp confina autant les individus du camp républicain que les brigadistes, les membres du camp allié, nazis et collabos, les obligeant à une cohabitation internationale.
À fin de préserver le souvenir de toutes ces personnes, plusieurs variétés d’arbres ont été plantées évoquant leurs pays de provenance.
Cet emplacement, ajouté au Centre d’Interprétation et aux restes visitables du Camp de Concentration, sont une invitation à la connaissance, la mémoire et le dialogue de notre histoire récente.
Mur en mémoire du Camp de Concentration
Le Jardin de la Mémoire est un lieu de rencontre dédié à toutes les personnes qui furent privées de leur liberté dans le camp de concentration de Miranda de Ebro entre 1937 et 1947.
Durant plusieurs décennies le camp confina autant les individus du camp républicain que les brigadistes, les membres du camp allié, nazis et collabos, les obligeant à une cohabitation internationale.
À fin de préserver le souvenir de toutes ces personnes, plusieurs variétés d’arbres ont été plantées évoquant leurs pays de provenance.
Cet emplacement, ajouté au Centre d’Interprétation et aux restes visitables du Camp de Concentration, sont une invitation à la connaissance, la mémoire et le dialogue de notre histoire récente.
Mur en mémoire du Camp de Concentration
PARC
EMILIANO
BAJO
Vue panoramique du Parc Emiliano Bajo
En 2006, comme souvenir et hommage à la Corporation Municipale qui se sacrifia pour essayer de protéger la démocratie et la liberté dans la ville, on a inauguré le plus grand parc de la ville, en le baptisant du nom du dernier maire républicain, Emiliano Bajo.
Le reste des Conseillers furent aussi commémorés et cinq rues de l’agrandissement de la « Ronda del Ferrocarril » (Boulevard du Chemin de Fer) furent baptisées en leur honneur.
Corporation municipale de Miranda de Ebro en 1931.
Emiliano est le 5ème en commençant par la droite
Monolithe avec plaque commémorative à Emiliano Bajo
En 2006, comme souvenir et hommage à la Corporation Municipale qui se sacrifia pour essayer de protéger la démocratie et la liberté dans la ville, on a inauguré le plus grand parc de la ville, en le baptisant du nom du dernier maire républicain, Emiliano Bajo.
Le reste des Conseillers furent aussi commémorés et cinq rues de l’agrandissement de la « Ronda del Ferrocarril » (Boulevard du Chemin de Fer) furent baptisées en leur honneur.
PARC EMILIANO BAJO
Vue panoramique du Parc Emiliano Bajo
En 2006, comme souvenir et hommage à la Corporation Municipale qui se sacrifia pour essayer de protéger la démocratie et la liberté dans la ville, on a inauguré le plus grand parc de la ville, en le baptisant du nom du dernier maire républicain, Emiliano Bajo.
Le reste des Conseillers furent aussi commémorés et cinq rues de l’agrandissement de la « Ronda del Ferrocarril » (Boulevard du Chemin de Fer) furent baptisées en leur honneur.
Corporation municipale de Miranda de Ebro en 1931.
Emiliano est le 5ème en commençant par la droite
Monolithe avec plaque commémorative à Emiliano Bajo
L’Association de Mémoire Historique de Miranda de Ebro est consciente de la dette historique que la société maintient avec toutes les victimes du Franquisme et leurs familles, concrètement avec celles de cette ville. Pour cela, ayant le désir de récupérer et rétablir la vérité historique dans la mémoire des citoyens d’aujourd’hui et pour les générations futures, l’association a voulu, à travers le monument et les plaques, rendre un hommage et exprimer sa reconnaissance morale à tous les hommes et femmes qui subirent d’une forme ou d’une autre la répression du régime franquiste pour défendre la liberté.
Le 17 février 2008 on inaugurait au Parc Emiliano Bajo le monument en hommage à la mémoire des victimes qui subirent la répression de la dictature et la guerre civile.
MONUMENT
AUX VICTIMES
PLAQUES
COMMÉMORATIVES
L’Association de Mémoire Historique de Miranda de Ebro est consciente de la dette historique que la société maintient avec toutes les victimes du Franquisme et leurs familles, concrètement avec celles de cette ville. Pour cela, ayant le désir de récupérer et rétablir la vérité historique dans la mémoire des citoyens d’aujourd’hui et pour les générations futures, l’association a voulu, à travers le monument et les plaques, rendre un hommage et exprimer sa reconnaissance morale à tous les hommes et femmes qui subirent d’une forme ou d’une autre la répression du régime franquiste pour défendre la liberté.
Le 17 février 2008 on inaugurait au Parc Emiliano Bajo le monument en hommage à la mémoire des victimes qui subirent la répression de la dictature et la guerre civile.
L’Association de Mémoire Historique de Miranda de Ebro est consciente de la dette historique que la société maintient avec toutes les victimes du Franquisme et leurs familles, concrètement avec celles de cette ville. Pour cela, ayant le désir de récupérer et rétablir la vérité historique dans la mémoire des citoyens d’aujourd’hui et pour les générations futures, l’association a voulu, à travers le monument et les plaques, rendre un hommage et exprimer sa reconnaissance morale à tous les hommes et femmes qui subirent d’une forme ou d’une autre la répression du régime franquiste pour défendre la liberté.
Le 17 février 2008 on inaugurait au Parc Emiliano Bajo le monument en hommage à la mémoire des victimes qui subirent la répression de la dictature et la guerre civile.
PLAQUES COMMÉMORATIVES
Une des plaques commémoratives des victimes de représailles de Miranda de Ebro
En 1952, après une brève utilisation comme caserne, les terrains du camp furent récupérés par leurs anciens propriétaires, qui réinstallèrent une usine.
Les quelques restes qui se conservent sont : le château d’eau, un lavoir, la base d’une tour de surveillance, des restes du mur de fermeture périmétrale et une guérite du corps de garde, restaurés en 2006.
À ceux-ci il faut ajouter le monument que la Gauche de Miranda érigea en mémoire de ses prisonniers.
En 1952, après une brève utilisation comme caserne, les terrains du camp furent récupérés par leurs anciens propriétaires, qui réinstallèrent une usine.
Les quelques restes qui se conservent sont : le château d’eau, un lavoir, la base d’une tour de surveillance, des restes du mur de fermeture périmétrale et une guérite du corps de garde, restaurés en 2006.
À ceux-ci il faut ajouter le monument que la Gauche de Miranda érigea en mémoire de ses prisonniers.
En 1952, après une brève utilisation comme caserne, les terrains du camp furent récupérés par leurs anciens propriétaires, qui réinstallèrent une usine.
Les quelques restes qui se conservent sont : le château d’eau, un lavoir, la base d’une tour de surveillance, des restes du mur de fermeture périmétrale et une guérite du corps de garde, restaurés en 2006.
À ceux-ci il faut ajouter le monument que la Gauche de Miranda érigea en mémoire de ses prisonniers.
Le Centre d’Interprétation se trouve au rez-de-chaussée du Centre Civique Raimundo Porres. Là tu pourras parcourir l’histoire du camp par le biais de documents originaux, objets réels, archives graphiques et sonores en relation avec le camp de concentration.
Tout cela se complète avec un espace pour consulter une bibliographie relative aux camps de concentration et publications de mémoires réalisées par des prisonniers sur leur vie à cette période.
De plus, le centre d’interprétation dispose d’audioguides en français et anglais, de brochures informatives et d’un livre d’or.
Intérieur du baraquement et documentaire
« Ecos de la Memoria »
Le Centre d’Interprétation se trouve au rez-de-chaussée du Centre Civique Raimundo Porres. Là tu pourras parcourir l’histoire du camp par le biais de documents originaux, objets réels, archives graphiques et sonores en relation avec le camp de concentration.
Tout cela se complète avec un espace pour consulter une bibliographie relative aux camps de concentration et publications de mémoires réalisées par des prisonniers sur leur vie à cette période.
De plus, le centre d’interprétation dispose d’audioguides en français et anglais, de brochures informatives et d’un livre d’or.
Le Centre d’Interprétation se trouve au rez-de-chaussée du Centre Civique Raimundo Porres. Là tu pourras parcourir l’histoire du camp par le biais de documents originaux, objets réels, archives graphiques et sonores en relation avec le camp de concentration.
Tout cela se complète avec un espace pour consulter une bibliographie relative aux camps de concentration et publications de mémoires réalisées par des prisonniers sur leur vie à cette période.
De plus, le centre d’interprétation dispose d’audioguides en français et anglais, de brochures informatives et d’un livre d’or.
Intérieur du baraquement et documentaire « Ecos de la Memoria »
© Certains droits réservés. Concejalía de Memoria Histórica Miranda de Ebro, 2019
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